Pas de titre social - "Ne rien dire et laisser les gestes parler pour nous."

IDENTITÉ Prénom : Noann Nom : Événor Âge : 33 ans en âge du corps, 242 en âge de l'âme, bloqué dans une boucle temporelle depuis 6 ans. Taille : 1m95 - 6'5''  Sexe : Homme Sexualité : Homosexuel (du moins il présume, il n'a été amoureux qu'une fois jusqu'à aujourd'hui mais il ne semble pas attiré par les femmes) Ville d'origine : Lucénore Ville actuelle : Konoï Travail : Peintre assez célèbre il réalise des portraits pour les gens de la haute société mais fait aussi ses propres œuvres qui sont très prisées, notamment ses paysages.

"Il n'est rien de plus beau en ce monde que d'aimer et d'être aimer. Une raison de plus pour dire qu'il n'est rien de plus beau au monde pour moi que toi."

Autre...

•  Les kitsunes n’ont pas vraiment besoin de dormir mais lui il adoooooore dormir. En grande partie parce que cela tue son ennui. Surtout parce qu’il tire une grande inspiration des rêves pour ses toiles. Et puis, c’est agréable de se blottir dans un lit douillet.

• Parfois ses yeux d'ordinaire dorés deviennent rouges, mais on ne sait pas trop pourquoi. Il n'en parle pas et c'est assez rare. Il y a une raison, mais si elle est connue de sa personne, il la garde secrète.

"Je tourne encore et encore dans cette boucle qui m'entraîne de force et contre mon gré tel un bateau pris dans une tempête sur l'océan périlleux et le seul phare qui me ramène vers la paix du rivage, c'est toi."

Histoire

Sa vie avant la boucle

J'ai peint de nombreux portraits au cours de ma vie. Tant de visages éphémères qui venait se présenter à moi un sourire au lèvres pour être immortaliser par mon art. Mais les gens se demandent rarement qui est peint sur le tableau, ils ne voient en général que l'artiste qui l'a fait. Avec le temps les noms de ceux qui posent se font oublier, il ne reste que leur visage sur ce tableau, comme des spectres refusant d'accepter qu'ils ne sont plus que cela. Des fantômes. Des vestiges du passé. 

Je trouve cela poétique. Beau. De voir ainsi les gens se débattre pour laisser un souvenir. Mais il n'y à que moi qui reste. Et mes souvenirs d'eux s'étiole avec le temps. Il ne me reste que mes tableaux pour me rappeler leur visage. Pour me rappeler les avoirs vu un jour, les avoir peints. 

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Ce qui l'a mené dans la boucle

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"33. C'est le généreux nombre choisi par ma fille. 33. C'est l'âge de ton corps. 33. C'est aussi le nombres de jours de grâce que je t'accorde, jeune Kitsune. Tu ne comprends pas l'essence du temps ni celle du don alors je t'invite à les comprendre. Tourne en rond petit Kitsune. Tourne en rond dans le temps. 33 jours encore et encore telle est ta peine. Tu m'écoute petit Kitsune ? C'est important que tu écoutes, toi qui prend de haut les autres. Voilà un cadeau pour toi, car ta sentence peut être brisée. Mais mes mots se taisent déjà dans la brume non ? Écoute petit Kitsune."

Le reste s'est comme tu dans un murmure, emporté dans le flots plus bruyants encore du sort, de mes protestations et des gens qui autour semblaient rires de mon sort. Je les entendaient glousser, je voyais leurs regards emplis de malice. Ils se rangeaient du côté de la sorcière, eux qui avaient dit être mes amis. Eux qui m'avaient tant de fois fait faire des choses en leur nom en me promettant de me rendre la pareille un jour. Eux pour qui j'aurai fait encore plus. Mes yeux se fermèrent, je me sentais sombrer, flotter puis devenir lourd. Toujours plus lourd. À mon réveil je me retrouvais 33 jours avant cette fameuse fête. Ma boucle infernale venait de commencer. Et la seule chose à la qu'elle je pensais c'était à te revoir.

Boucles notables jusqu'à aujourd'hui

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La première fois, j'ai essayé de revoir la sorcière pour changer les choses, expliquer mon refus mais j'ai juste bégayer. La deuxième fois j'ai vraiment essayer de changer les choses mais n'ai rien pu changer. La troisième fois j'avais pu parler à l'enchanteresse mais elle m'a dit que c'était à moi de trouver comment briser le sort, qu'elle m'avait déjà dit comment m'y prendre et que je méritait ma punition car sa fille n'était pas la seule que j'avais ainsi humiliée. La quatrième fois j'avais déjà abandonné le projet de rompre la boucle et me suis mis à déprimer. La cinquième j'étais en phase de déni. La sixième je suis retourne à la fête et me suis à nouveau posé au balcon et là j'ai revu Colefang. La sixième fois j'ai demandé à Opaline son prénom. Lors de la septième boucle je décidais de vivre ma vie ainsi. Lors de ma vingt-huitième boucle j'ai revu Colefang. Et encore la suivante. Et encore. Et encore. Et lorsque que je ne l'ai pas vu lors de ma trente-neuvieme boucle j'ai senti un vide. Il m'avait toujours tendu la main. J'avais envie de le revoir, alors j'en suis là, au début de ma soixante-sixième vie à être follement amoureux d'un homme et à chaque fois que je remonte le temps il oublie jusqu'à mon nom. Moi jamais je ne pourrai oublier le sien. Ni son nom, ni son visage.

Ferrals de compagnie Prénom :  Âge :  Taille :  Sexe :  Sexualité :  Ville d'origine :  Rencontre :